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1, place Virey  52600 Hortes

Hortes et ses curés

 


- Lambert, vers 1170, dit prêtre d'Hortes, fut le premier curé que certains documents ont pu rapporter.

- Simon en 1275 et 1279. Il fut doyen rural de Pierrefaites.

- De Roseto, en 1336.

- Megnard Mutin (ou Meynard), Megnardus Mutini naquit à Chalancey. Il fut curé de Hortes en 1404.

- Gérard Drouin fut curé en 1471 où il mourut. Il fut chanoine à Langres.

- Jean Poilley, en 1471.

- Guillaume Bordaille (ou Bardaille), en 1516.

- Jean Tallon fut curé en 1560. Il fut chanoine de Langres.

- Antoine Carteret, vicaire en 1560.

- Philibert de Cusault, vicaire en 1560 et 1562.

- Didier Aubertin en 1562. Dès cette époque, Hortes avait Rougeux comme annexe car on a retrouvé certains titres de 1563, des fondations érigées par ce prêtre pour ces deux paroisses à la fois.

- Mammès Quanquery, en 1562. Il fut curé de Dampierre-les-Langres puis de Ville-sur-Arce.

- Jean Richardot, chanoine de Langres, ex-curé de Crenay, fut curé de Hortes en 1577.

- Nicolas Saget, ex-curé de Saint-Martin-les-Autreville, fut curé de Hortes de 1577 à 1579, où il résigna et mourut. Il fut chanoine à Langres.

- Noël Facenet (ou Facenot), de 1579 à 1585, fut principal du collège de Langres puis chanoine à St-Mammès.

- Nicolas Jolyot (Jolliot ou Joliot) fut curé en 1585 jusqu'au 20 mars 1637 où il mourut de chagrin suite aux épouvantables massacres commis par les Croates.

Hortes fut anéanti par ces pillards. Ils reviendront peu après et pilleront ce qu'il restera du village.

- Nicolas Parisel fut vicaire dans ces années tourmentées de 1637 et 1638. Il sera conduit par les Croates à Salins en Franche- Comté, en dehors de notre pays. Il devint vicaire à Rougeux.

- Clément Macheret, natif de Hortes vers 1575, fut à l'origine de nombreux documents qui relatèrent l'histoire de la région, une source très importante d'informations. Il fut d'abord prêtre à St-Mammès puis recteur de l'hôpital St-Laurent de Langres et enfin curé de Hortes de 1637 à 1660 où il mourut.

- Parisot, de 1668 à 1674.

- Lancluse, de 1674 à 1677.

- Claude Goutotte, de 1677 à 1684. Il eut titre de chanoine de Fouvent. Il fut premier chapelain de St-Anne de Fayl-Billot. Il fut recteur de l'hôpital St-Laurent. Il décéda en 1687.

- Pierre-Charles-Leclerc fut curé en 1686. Il eut le titre de chanoine à St-Mammès.

- Jean Habigand, de 1686 à 1701 où il mourut. Les titres les plus anciens que la paroisse de Hortes possède, datent de 1687. Jean Habigand rétablit en 1689 la Confrérie du Saint-Rosaire. Il fut nommé vicaire à Longeau.

- Robert remplaça Jean Habigand pour une année.

- Joseph Picard naquit à Chaumont. Il fut ordonné prêtre en 1700. Il fut curé de Hortes de 1702 à 1738 où il résigna. C'est un théologien. Il décéda vers 1740.

- Jean-Baptiste Fourel, de 1739 à 1778. Il résigna pour 800 livres de pension, ce qui montrait l'importance du bénéfice. Il fut vicaire d'Aubigny. Il mourut vers 1780.

- Jean-François Legout (Legoux) fut curé de 1778 à 1791. L'église fut construite à cette époque. Il fut curé de Chézeaux.

Il décéda le 10 novembre 1791. Il était assermenté.

- Etienne Pacot, curé en 1792 fut aussi assermenté. Il fut curé de Heuilley-le-Grand.

- Etienne Guerin naquit à Chaumont. Il fut ordonné prêtre en 1791. Il fut curé de Hortes en 1792 et 1793. Les années suivantes, il sera officier public de la commune. La paroisse fut marquée à cette époque par de tristes souvenirs, le presbytère fut vendu, l'église dépouillée de ses marques de culte, ce dernier fut même interrompu. Les cloches furent enlevées.

- Monsieur Forgeot, prêtre catholique romain, donna ses soins à la paroisse aussi longtemps qu'il le put. Les malheurs des temps et la persécution le forcèrent d'abord à se cacher, puis à s'éloigner. Hortes demeura ainsi sans pasteur pendant les dernières années de ce siècle. La paroisse ne resta pourtant pas complètement dénuée de tout secours religieux, car plusieurs familles vénérables eurent l'honneur et le courage de donner asile à des prêtres fidèles.

- Henry-Joseph Richard de Cendrecourt naquit à Pouilly en 1763. Il fut prêtre en 1789, vicaire de Hortes puis assermenté sous la Révolution. Il sera curé de 1800 à 1805.

- Pierre-Nicolas Barbier, de 1805 à 1817, ex-curé de Rivières-les-Fosses, fut curé de Poinson-les-Fayl. Son âge et sa santé le forcèrent à se retirer dans cette paroisse plus petite, en septembre 1817.

C'est sous son ministère que les cloches qui subsistaient avant la rénovation et l'agrandissement de l'église St-Didier, furent fondues. Elles seront bénites par lui.

- Pierre Prudent, ex-curé de Verseilles-le-Haut, fut nommé curé de Hortes le 1er octobre 1817.

Il quitta ses fonctions en juillet 1824 pour entrer dans la congrégation des prêtres missionnaires établie à St-Geosmes.

Il termina saintement sa vie, vivement regretté, non seulement de ses confrères qu'il édifia jusqu'à son dernier soupir, mais de tout le clergé du diocèse et de tous les fidèles qui avaient eu le bonheur de le connaître au cours de ses missions.

Son corps repose au cimetière de St-Geosmes. On peut lire sur sa tombe cette inscription :

Le ciel, jaloux de tes vertus, te ravit à la terre ;

Mais, si dans ce lieu de misère, tendre ami, tu n'es plus,

Dans la demeure des Elus, sois toujours notre frère.

- Jean-Baptiste Moreau, d'abord vicaire de Hortes (ce sera le premier) en 1823 avec Pierre Prudent, il devint curé en 1824 jusqu'en octobre 1831 où il se retira dans un monastère de l'ordre des Trappistes. Cet ordre religieux fut un des plus austères qui exista. Il fut curé de Hortes pendant la Révolution de 1830.

Il fit respecter l'église et la religion avec tact, au milieu d'une population qui s'attacha facilement et d'une façon irréfléchie aux nouveautés du jour.

- Jean-Baptiste Lamy, ex-curé de Saint-Maurice, fut curé de Montlandon de 1830 à 1831. Il fut nommé curé de Hortes le 13 septembre 1831.

En 1832, l'église St-Didier, qui fut à peine terminée de ses vastes travaux d'agrandissement, fut bénite par le vicaire général Barillot, supérieur du grand séminaire de Langres. Ce fut en 1833 que Monseigneur Jacques-Marie Mathieu, 103ème évêque de Langres, consacra l'église. A cette même période, il y eut un vicaire nommé Huin. Il sera remplacé par Pierre Marion.

En 1837, Jean-Baptiste Lamy constata le cambriolage de l'église, où le ciboire a disparu du tabernacle. Il fut remplacé grâce à la générosité de nombreuses personnes, après un appel pressant de leur curé.

Il quitta la paroisse en octobre 1839. Il deviendra chanoine et vicaire général de Langres puis supérieur du grand séminaire de cette même ville.

Il fit don à la commune d'une somme de 24 000 F.

C'est grâce à sa générosité et avec l'approbation du conseil municipal qu'en 1855, Jean-Baptiste Lamy fit venir trois frères de la doctrine chrétienne afin de dispenser l'éducation primaire aux jeunes gens de la commune.

Le conseil, dans un sentiment de reconnaissance profonde, accepta et logea gratuitement ces derniers. Ils s'installèrent le 1er novembre 1856. Une somme de trois mille francs fut votée pour leur traitement.

- Jean-Baptiste-Joseph Sommier, ex-curé d'Is en Bassigny, entra en fonction le 27 octobre 1839. Il assista à la bénédiction des cloches en 1860. En 1861, il prit l'initiative de faire paver l'église qui était en très mauvais état. Sa soeur Françoise fit don de la statue de St-Joseph. Il fut curé jusqu'au 11 novembre 1880 où il décéda.

- Benoît Moral, prêtre d'origine espagnole, fut vicaire de 1843 à 1844.

- Nicolas Bélime naquit à Percey-le-Petit le 7 mars 1834. Ordonné prêtre le 29 juin 1858, il fut nommé vicaire dans son village natal ainsi qu'à Montormentier. Il sera vicaire à Chassigny puis à Bourbonne-les-Bains, pour être enfin nommé curé de Pisseloup le 14 août 1862.

Il fut curé de Hortes le 13 février 1881. Il sera vice-doyen du canton de Fayl-Billot en mars 1895.

            En fin d'année 1881, des cambrioleurs tentèrent de pénétrer dans l'église en essayant de desceller des barreaux de la sacristie. Après avoir forcé une porte latérale, ils pénétrèrent dans l'édifice et essayèrent, mais en vain, de forcer la porte de la sacristie.

            En 1884, Nicolas Bélime fut aidé par l'Abbé Cressot, qui deviendra son vicaire.

Nicolas Bélime décéda le 1er juillet 1899. Il fut enterré à Hortes. Son monument funéraire fut payé par ses paroissiens. C'était un homme doux, qui n'a pas hésité à dépenser son coeur et son argent pour sa paroisse.

- Emile Richard Brutel naquit à Bourbonne-les-Bains le 6 octobre 1874. Il fut ordonné prêtre le 29 juin 1898. Il fut nommé vicaire de Hortes le 1er octobre (ce sera le dernier). Curé d'Orbigny-au-Mont en février 1900, il demanda à être déchargé de sa paroisse pour devenir Père Blanc d'Alger. Il se retira dans son pays natal en 1936. Il décéda le 4 avril 1963.

- Marie Félicien Nicolas Mansotte naquit le 13 octobre 1862 à Courcelles-sur-Aujon. Ordonné prêtre le 19 juin 1886, il fut nommé vicaire à Notre-Dame de Saint-Dizier. Curé de Perthes en juillet 1891, il sera curé de Hortes le 21 janvier 1900. Il fut nommé curé doyen de Nogent en octobre 1907 d'où il rejoignit ensuite le doyenné d'Andelot en octobre 1922. Il eut le titre de chanoine honoraire. Il décéda le 24 avril 1950.

- Edmond Adrien Nicolot naquit le 8 octobre 1863 à Dommarien. Ordonné prêtre le 4 juin 1887, il était déjà sous- directeur du petit séminaire de Langres depuis 1886. Il fut vicaire à Saint-Dizier en 1888. Nommé curé de Champcourt en 1890, il eut la responsabilité de la paroisse de Valcourt en 1894 et fut curé de Hortes le 1er novembre 1907. Il reçut le titre de chapelain en 1908. Il décéda le 17 juin 1909.

- Clément Jules Petit naquit à Chatoillenot le 4 octobre 1865. Il fut ordonné prêtre le 15 juin 1889. Etudiant à la faculté catholique des sciences de Lyon, il sera licencié ès sciences. Il fut professeur au petit séminaire de Langres en octobre 1891. Il eut le titre de chapelain en 1901. Le 8 août 1909, il fut nommé curé de Hortes jusqu'au 26 juillet 1911, date à laquelle il décéda à l'âge de 46 ans.

Il est à l'origine de " L'écho paroissial de Hortes ", petite revue mensuelle qui relatait la vie de la paroisse. Parfois très prompt, il pouvait surprendre une personne ne le connaissant pas. Il était minutieux dans l'organisation de sa vie quotidienne.

- Alexandre Amédée François naquit à Gilley le 12 janvier 1874. Ordonné prêtre le 17 décembre 1898, il fut sous-directeur du petit séminaire de Langres.

Le 14 octobre 1899, il fut nommé vicaire à Châteauvillain et curé de Marmesse. En juillet 1900, il fut nommé vicaire à Chaumont. Il fut curé de Latrecey le 26 août 1906 jusqu'en 1911, où il devint, le 26 août, curé de Hortes.

Mobilisé, il fut en 1914, aumônier et brancardier.

Il fut victime d'une cabale que certains paroissiens avaient montée contre lui. Il avait en effet un caractère expansif qui ne plaisait pas à tout le monde. Il dut quitter la paroisse à la suite de cette navrante affaire en 1928.

Il fut nommé cette même année, administrateur de Marnaval. En 1929, il fut curé de Poulangy et enfin, curé de Chamouilley, Roches-sur-Marne et Narcy en juin 1934.

Il décéda le 10 janvier 1943.

- Louis Charles Joseph Ragot naquit le 22 décembre 1882 à Neuilly-L'Evêque. Il fut ordonné prêtre le 29 juin 1906. Fin août,

il sera nommé vicaire à St-Jean de Chaumont.

En mai 1911, il fut nommé curé de Savigny, Tornay et Gilley.

En août 1928, il devint curé de Hortes où il résida.

Il desservit aussi les communes de Rosoy et de Chaudenay. Chaque dimanche, il dit une messe dans chacune de ses paroisses. Il s'y rendait le plus souvent à vélo. Vers la fin de sa vie, il se modernisa et acheta un cyclomoteur.

Il fut chanoine honoraire de la cathédrale de Langres. C'était un homme timide, humble, trop humble pour certains, dont le dévouement était sans limites. Il entretint une relation amicale avec le docteur Perfetti. Leurs idées furent très souvent en opposition mais il y eut un respect total entre les deux hommes.

C'est lui qui fut à l'origine de la rénovation de la chapelle St-Didier.

Durant l'exode de 1940, Louis Ragot refusera de quitter sa paroisse. Il tiendra un journal qui relatera, jour après jour, l'évolution locale du conflit.

Il fut aussi nommé chapelain de la cathédrale de Langres en décembre 1934.

Il décéda le 15 novembre 1955 à l'âge de 73 ans. Il fut enterré à Hortes.

- Emile Emmanuel Morisot naquit à Chatoillenot le 22 janvier 1904.

Ordonné prêtre le 23 juin 1929, il fut nommé, en octobre, vicaire à Bourbonne-les-Bains. Il fut curé de Vitry et Poinson-les-Nogent en 1931.

Il fut nommé curé de Hortes où il résida. Il desservit aussi Rosoy (Chaudenay et Maizières) du 1er janvier 1956 jusqu'au mois d'août 1975.

      Il prit sa retraite à Châtillon-sur-Saône en 1975 puis à Langres en 1977.

On peut lire le 16 mai 1957, dans un compte-rendu du conseil municipal : " Après avoir pris connaissance du bulletin paroissial de mai-juin 1954, considérant les informations erronées et tendancieuses imprimées au sujet des obsèques du docteur Perfetti, médecin dévoué et désintéressé depuis 1904 et maire de la commune pendant 43 ans.

Considérant que le dit bulletin, à caractère politique, risque d'amener le trouble et la division dans le village jusque là bien tranquille, demande instamment à monsieur le curé de donner à son écho, un caractère uniquement paroissial dans le respect des opinions politiques de chacun, comme l'a toujours fait son regretté prédécesseur, curé de la paroisse pendant 27 ans ".

J'ai le souvenir d'un homme autoritaire.

Il maîtrisait la statistique d'une façon admirable.

Il décéda à Langres le 16 décembre 1990 et sera enterré dans son village natal.

- Gabriel Ackermann naquit le 20 juillet 1919 à Ornes-sur-Viennes.

Il fut appelé sous les drapeaux le 15 avril 1940 et en juin 1940, il fut fait prisonnier à Vannes.

Déporté en Allemagne, il fut libéré en juin 1945. Cette période de travail forcé, ce contact avec les non-croyants, fut décisif dans sa vocation.

Le 3 mai 1947, il fut ordonné prêtre.

Il lui aura fallu six ans d'études au petit séminaire de Langres, trois ans et demi au grand séminaire de la même ville et enfin deux ans au grand séminaire de Dijon pour achever sa formation de prêtre.

      C'est à Goncourt qu'il deviendra curé jusqu'en septembre 1949. Curé d'Audeloncourt jusqu'en septembre 1970, il se rapprocha de notre région en septembre 1970 où il devint curé de Culmont.

Il quitta ce bourg le 1er septembre 1975 où il devint curé de Hortes jusqu'à la Toussaint 1993.

Il desservit aussi les communes de Rosoy, Troischamps, Montlandon, Maizières et Arbigny.

Il devint prêtre suppléant dans le secteur de Bourbonne-les-Bains. Il est encore, à ce jour, habitant au village. Le choix de son départ est regretté par de nombreuses personnes.

Homme simple, discret, il accomplit sa fonction pastorale avec beaucoup de dévouement qui sera parfois freinée par des handicaps de santé.

            Après avoir pris sa retraite, sa soeur Marie décide de le rejoindre à Hortes. Elle lui sera très dévouée dans les tâches de la vie quotidienne et aidera son frère Gabriel à surmonter ses périodes de fatigue. Elle tombera elle même malade, et son frère, avec une reconnaissance sans limite, la soutiendra dans sa souffrance.

            Il sera le dernier curé qui résidera à Hortes.

- Gilbert Baudier naquit le 7 octobre 1929 à Gouhenans (70). Il passa toute son enfance à Plesnoy. Après ses études au petit et au grand séminaire de Langres, il fut ordonné prêtre en 1955.

Il sera vicaire à Nogent en 1962 pendant sept ans puis successivement, curé de Louvemont et de Villier-en-Lieu.

En 1968, il fut nommé curé au Vert-Bois, quartier populaire de Saint-Dizier, où il restera huit années. 

Curé de Biesles en 1976, il gagnera notre région en 1992 où il sera curé de Chalindrey, où il réside. Cela l'amènera en novembre 1993 à desservir le secteur paroissial de Hortes.

Le 28 août, le Père Pierre-Jean Salmer, avec qui il partageait les responsabilités pastorales dans le secteur de Chalindrey, part pour la paroisse du Vert-Bois. Ce secteur de Saint-Dizier représente quelques 20 000 âmes. Gilbert Baudier a la responsabilité de vingt-deux paroisses,représentant quelques 7 500 habitants, ce qui nécessite de nombreux déplacements dans nos campagnes.

- Henri Michel qui réside à Langres.


Le presbytère


      Durant la Révolution de 1789, différents prêtres ont résidé rue de la Gare (future rue de Beaulieu), dans la propriété actuelle de Christian Bailly.

C'est en 1838, sous le ministère de Jean-Baptiste Lamy et grâce à sa pression, que le presbytère actuel fut racheté par la commune.

      D'une structure assez cossue, il est attenant aux bâtiments communaux, à proximité immédiate de l'église.

La propriété possède un jardin entouré d'un mur qui l'isole totalement des passants (la propriété se trouvant entre deux rues).

N'ayant plus de curé au village, le presbytère sera loué.

      La présence d'une entrée de souterrain pourrait s'expliquer par la proximité de la rue du château, dont ce dit château aurait été à l'origine du nom de cette rue.



*(extrait du livre : Des Hommes et leurs Demeures)

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